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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 15:00

tetepage   

     Hors la loi "autorisée" par deux Policiers Municipaux de surveillance, ce matin vendredi 27 juin 2014, au Marché des Charpennes, à Villeurbanne , qui croisent une femme (?), voilée sauf les yeux, circulant dans les allées. J'ai abordé le sujet avec les deux préposés qui, aprés quelques réponses embarrassées à mes questions sur des consignes reçues, ont malgré tout admis mon constat de fait  "hors la Loi".

     Chacun choisit son camp. Anti, oui, je le suis, ni anti-bouddhiste, ni anti-juif, ni anti-arabe, ni anti-chrétien, ni anti-musulman, mais anti-religieux, contre tous ces escrocs de l'espoir qui, racontant des bobards, soumettent leurs conquêtes à des rites imbéciles commandés -directement à eux- par des dieux inventés pour asseoir leur pouvoir. Et je refuse qu'en France, on obéisse aux ordres de tous ces arnaqueurs en transgressant nos lois.

     Chaque jour, de partout, on peut le constater, on grignote nos règles au profit de conduites qui y contreviennent, en petit à petit pour nous y habituer. On doit s'y refuser, il en va de nos droits à la tranquillité et la sécurité.

     A ce sujet d'ailleurs, avérant le problème, circule sur le Net une pétition lancée par Marianne du 26 juin : Laïcité, il faut se ressaisir, que je n'ai jusqu'ici pas réussi à signer sur ma messagerie.

     Pétition d'opinion, un devoir citoyen, quelle que soit pour chacun, la religion qu'il a, le berceau d'où il vient.

                                                   Michel-la-six.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 09:15

 

               tetepage                                          

 

 

     Chez J-J Bourdin, BFMTV, j'ai vu ce matin monsieur Juppé, grand cru, de bordel-est, année 95, peu crédible depuis, nous faire son numéro, un ou deux c'est selon ... Sarko qui mal y pense.

     Pour l'immobilier immobile, la faute aux socialo qui  obligent aux dernières nouveautés les habitations neuves. Il suggère de réduire à quelques pourcentages seulement le nombre des logements respectant les normes d'accès au handicap qui augmenteraient par trop les coûts. Ah, les vieux neufs !  Adieu salles d'eau vastes, grandes portes et couloirs généreux, nivellement partout, voilà marche au balcon, à la douche, on serre les coudes aux portes des pièces secondaires, aux toilettes ce qu'on peut. Le prétexte étant là que la population n'est pas majoritairement handicapée, du moins physiquement. L'idée d'abord paraît logique si, gommant le progrès qu'on devrait tous vouloir, on oublie tous les vieux, de plus en plus nombreux, qu'on ne pourra pas tous mettre dans des foyers, augmentant fortement la proportion de ceux qu'on maintiendra chez eux.

     Monsieur Juppé, qui se plaît à nous la jouer "Homme d'État", contre la proportionnelle intégrale, ce que l'on peut comprendre au souvenir de notre Quatrième République, n'a, on le voit au détail et pour le général, refait, au mieux De Gaulle, aucune idée nouvelle qui le distinguerait de tous les autres égo qu'il stigmatise sans pour autant sortir d'un lot sans aucune vue d'un futur nouveau susceptible de rendre à La France un rôle de modèle, comme en d'autres temps, pour refonder l'Humanité sur des valeurs et un sens dont elle a bien besoin.

     A sa décharge on peut reconnaître qu'il fut bouc émissaire fidèle des risques acceptés d'un rôle aux avantages nombreux.

     Bien sûr qu'il ne veut pas de Sixième République, la Cinquième lui va bien, comme à Hollande et autres, qui se sont faits par elle et en ont profité, sans en subir le poids comme nous, les gouvernés.

     Pourtant si l'on veut bien et vraiment que ça change, il faut règles nouvelles car les hommes, ceux-là ou d'autres, ne voulant rien changer pour ne pas se détruire, ne pourront dans ce cadre, même s'ils le voulaient, innover en faisant les réformes corrigeant les défauts du présent et améliorant les acquis de notre Histoire.

     Puisqu'il faut remuer profondément le Pays, une Sixième République est la seule voie douce, légale et légitime possible, elle doit passer par Nous dans un référendum qui en décidera.

     C'est à nous, tous, d'y penser aujourd'hui pour nous éviter un demain risquant d'être explosif.

     Sur tous les points, d'actualité ou non, même les oubliés, peu urgents ou mineurs, pensez-y, pensez ce qui va bien, pensez ce qui va mal et choisissez la forme qu'on pourrait leur donner pour pouvoir, le moment venu, exercer de la meilleure façon votre pouvoir de citoyen.

                                                       Michel-la-six

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

                                                                           ____________________

 

                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

                                                                            ____________________

 

        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

                                                                           ____________________

 

                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

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        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

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                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

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        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:05

 

               tetepage                                                                                              

 

         De bâbord à tribord tout comme en jeu de quilles, se battant comme des chiens et se lançant des boules pour torpiller l'ami qui devient adversaire de l'horizon qu'on a, souvent inavoué, si l'on sent qu'il fait route, lui aussi vers ce but, on voit nos politiques, les journaux, les radios, les télés, disputer devant nous de droits et de devoirs qu'ils sont sensés connaître, en étant l'origine ou bien la diffusion.

         Que nenni !

         Tout d'abord relevons que partout le pouvoir s'arroge tous les droits aptes à le maintenir. C'est d'ailleurs dans ce but qu'on créa "La Cinquième", République tout-en-un d'un État monarchique aux mains de roitelets se constituant des cours plus soucieuses d'elles-mêmes que de traiter des lois.

         Le populo voit tout, entend tout, ne sait rien, comparé aux Arrias qui le prennent à témoin, montrant leurs connaissances d'un Droit dont ils ne tirent que ce qui les arrange. Contradictions, mensonges, tout est minimisé au profit de scandales dont ils sont les victimes, arguant de la justice et de la vérité, comme si elles existaient, qu'ils en soient le portrait. L'investigation, judiciaire, policière, se doit de disposer des moyens nécessaires à la détermination de la mesure d'une innocence, d'une culpabilité. L'écoute est un outil, légal et légitime, pour l'État, d'enquêter.

         Mais voilà qu'on entend, sonnant à coups de trompe, des ténors de médias et autres confréries exiger le respect du secret absolu pour ce qu'ils considèrent domaines "sanctuarisés", j'ai entendu ce mot, accordant, c'est heureux, une limitation aux avocats, bien sûr, aux médecins, aux curés.

         Pour les curés déjà, le secret ne tient pas. Curés, imams, rabbins, lamas plus ou moins dalaï, dieu soi-même, (vive le Tibet vive la Fr  vive les Chinois) et autres vains faits du même tonneau, tous imposteurs notoires de foules trop naïves restées dans l'ignorance, auxquelles on fait subir, sous la rigueur des dogmes, harcèlement moral, pressions économiques et menaces diverses, avec contraintes de rites plus ou moins à la c.. pour faire disparaître l'Individualité, c'est déjà faire honneur à cette classe là qu'on veuille la traiter comme on le fait pour tous.

         La relation, intime, du docteur au patient, réduisant l'intérêt, pour d'autres, à s'immiscer, rend la priorité aux besoins de l'enquête par les Autorités.

         La gent des avocats, qui se montre partout, prétend qu'elle est lésée, crie à l'inquisition, au non respect des lois pour atteinte bien sûr d'abord à son statut, qu'elle croit prérogative, privilège de droit, prenant dans son sillage la défense du droit de chacun des  clients comptant sur sa défense. Entrant dans ce cynisme, s'il est vrai que l'on peut, en toute bonne foi et à première vue, voir comme un espionnage, incongru, excessif, répréhensible même, la surveillance par écoute des conversations, sur les réseaux publics de télécommunication, entre avocat et client, le point de vue ne tient pas et ce pour deux raisons.

         Le client tout d'abord, libre de se gérer, peut et doit réserver le temps des confidences, celles pouvant lui nuire, au contact direct avec son avocat, encore s'il veut en faire, car rien ne l'y oblige.

         Et pour l'avocat, mieux, il n'a pas à connaître, quant à ceux qu'il défend, ni culpabilité ni réelle innocence, son rôle consistant à faire coïncider défense du client et règles judiciaires pour y choisir celles qui sont plus favorables. L'avocat qui ne fait aucun recel des armes, faux papiers ou cadavres pour plaire à ses clients n'a, partant, rien à craindre de cette procédure.  

         Voilà que je soutiens, semble-t-il une thèse, chère au Gouvernement. Tant de contradiction, de mensonge constaté, ont prouvé maintenant que le Régime est vieux, fini, incontrôlable, qu'il faut le remplacer, profitant d'expériences prouvant que ça n'est pas en changeant de personnes qu'on fait le changement et surtout pas avec tous ces indignitaires qui l'offrent en promesses.

         Que la démocratie au moins chez Nous revienne, réhabilitons la, ré-habillons Marianne, en plus Belle,  en SIXIEME.  

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 15:39

 

                      tetepage                                      

 

 

     Adepte du mariage pour tous ,  les autres , et comme né sous-x , cherchant son ascendance de la gauche à la droite , velléitaire partout, il ranime sans cesse, et dans tous les domaines, des sujets de querelles faciles très éloignés des préoccupations des Français. Il est vrai qu'il ne représente par son élection , tout bien compté , qu'autour de 15% du corps électoral mais qu'il s'est assuré habilement le soutien des Chambres et a su s'entourer de plus ou moins ministres feudataires à proportion de l'illégitimité de leur position.

      L'un volait dans la caisse qu'il prétendait défendre , l'autre venue de loin était plus populaire quand elle voulait sortir la Guyane de la France , culot qui égalise celui du précédent.

      D'autres pitres voudraient , dogmatiques du vert , nouvelle religion prosélytant , comme toutes , âneries et mensonges , rayer du paysage , non seulement les sources d'énergie installée mais forcer l'électrique pour la mobilité qui s'accroît chaque jour , faisant l'évolution , alors qu'on sait si peu comment on peut stocker cette électricité qu'on n'arrive à produire  que par matières fossiles ou bien le nucléaire et dont on ignore tant et même sa nature.

      Plus rigolot en somme , cet autre farfelu , maître de l'instruction , nationale , s'il vous plaît , tolère et soutient même qu'on présente jusqu'en classe l'homosexualité , privilégiant ainsi une paricularité hors normes naturelles en ignorant les autres , aussi que l'on accepte dans la librairie de cette Institution l'usage d'ouvrages très éloignés du but recherché. Tout ça pour des enfants ! Bien sûr on entend dire , par tous les sus-nommés , que des réactionnaires , forcément hétéros , donc des anti-homos , ont peur de voir des nus , (nos musées en sont pleins) mais beaucoup de familles intègrent tous les couples sans pour autant vouloir voir professer ces cas ni apprécier qu'on puisse , sans leur approbation , faire entrer leurs enfants dans un mode d'expression d'une vulgarité qu'elles sont en droit de réprouver et d'interdire et qui , de toute façon , ne s'imposait pas là , "à poil" étant ici tout aussi incongru , parlant de nudité , que de parler de "cul" en cours d'anatomie.

      Sauf à parler ministre ?  

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 15:39

 

                      tetepage                                      

 

 

     Adepte du mariage pour tous ,  les autres , et comme né sous-x , cherchant son ascendance de la gauche à la droite , velléitaire partout, il ranime sans cesse, et dans tous les domaines, des sujets de querelles faciles très éloignés des préoccupations des Français. Il est vrai qu'il ne représente par son élection , tout bien compté , qu'autour de 15% du corps électoral mais qu'il s'est assuré habilement le soutien des Chambres et a su s'entourer de plus ou moins ministres feudataires à proportion de l'illégitimité de leur position.

      L'un volait dans la caisse qu'il prétendait défendre , l'autre venue de loin était plus populaire quand elle voulait sortir la Guyane de la France , culot qui égalise celui du précédent.

      D'autres pitres voudraient , dogmatiques du vert , nouvelle religion prosélytant , comme toutes , âneries et mensonges , rayer du paysage , non seulement les sources d'énergie installée mais forcer l'électrique pour la mobilité qui s'accroît chaque jour , faisant l'évolution , alors qu'on sait si peu comment on peut stocker cette électricité qu'on n'arrive à produire  que par matières fossiles ou bien le nucléaire et dont on ignore tant et même sa nature.

      Plus rigolot en somme , cet autre farfelu , maître de l'instruction , nationale , s'il vous plaît , tolère et soutient même qu'on présente jusqu'en classe l'homosexualité , privilégiant ainsi une paricularité hors normes naturelles en ignorant les autres , aussi que l'on accepte dans la librairie de cette Institution l'usage d'ouvrages très éloignés du but recherché. Tout ça pour des enfants ! Bien sûr on entend dire , par tous les sus-nommés , que des réactionnaires , forcément hétéros , donc des anti-homos , ont peur de voir des nus , (nos musées en sont pleins) mais beaucoup de familles intègrent tous les couples sans pour autant vouloir voir professer ces cas ni apprécier qu'on puisse , sans leur approbation , faire entrer leurs enfants dans un mode d'expression d'une vulgarité qu'elles sont en droit de réprouver et d'interdire et qui , de toute façon , ne s'imposait pas là , "à poil" étant ici tout aussi incongru , parlant de nudité , que de parler de "cul" en cours d'anatomie.

      Sauf à parler ministre ?  

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 17:46

                                                    

                       tetepage    

                                                          

     Bêtise et cruauté se sont souvent disputées la vedette dans l'Histoire du Monde, reléguant humanité et justice au rang des incommodités qu'on laisse en guise de défouloir aux aspirations des peuples à un avenir meilleur. Comme toujours, aujourd'hui, la guerre de Syrie, en se mondialisant, permettra des actions dont différents prétextes, puisés dans les plus nobles, cacheront bien vraies causes et enjeux politiques dépassant de très loin les différends locaux, évènements ordinaires de modus vivendi si éloignés du nôtre qu'il semble raisonnable de ne pas s'en mêler.

     Mais, car il y a mais, on a pris le parti, dans nos plus hautes sphères, pour un "printemps arabe", et ce, depuis longtemps malgré des expériences pour le moins désastreuses, quelle que soit la tendance de nos gouvernements, exprimant un soutien sans condition aucune à tout renversement, dans ce cadre idéal, des régimes établis n'ayant rien, il est vrai, de commun avec nous, le monde occidental, mais reflets d'un milieu au devenir bloqué, sans espoir d'avancement par soumission totale aux mythes imposés par des mages inventeurs de paroles divines aussi ridicules qu'infondées propres à leurs intérêts. Cette société-là ne peut être en mesure de construire, ni même de vouloir les valeurs que l'on a, ici, bien établies et qui, mêmes imparfaites, sont la base, le niveau et le sens de notre évolution.

     Notre actuel régime, la Cinqième République, qui permet à un homme de se conduire en roi et de nous engager sans vrais contre-pouvoirs dans de nombreuses impasses, jusque-là limitées à nos règles internes et ne mettant en cause que notre ordinaire, va, par les rodomontades de tels roitelets, nous engager trop loin, sans qu'on en soit partie, sur la voie de la force où nous sommes isolés, sur le fond et la forme, dans un problème posé à l'international, seul capable d'agir par un mandat légal ne faisant pas de nous cinquième roue du carrosse dans un genre d'aventure qui dépasse nos forces.

     Il eut fallu d'abord, mais il n'est pas trop tard, plutôt que d'avancer les armes à la main, essayer de convaincre un grand nombre d'alliés sur l'idée du principe et du choix des actions dans le cadre légal d'organismes existants pouvant seuls définir et justifier un but , même au prix, ici incontournable, d'une perte de temps, l'immédiat dispersé n'ayant pas raison d'être si l'on veut respecter les buts et les motifs de justice invoqués. On a vu récemment les plus grands va-t-en-guerre abandonner l'affaire ou choisir une voie capable de rallier l'accord en plus grand nombre. Exemples méritoires qu'on aurait pu, nous-mêmes, proposer en premier, assurant à la fois prestige et dynamique augurant mieux d'un but bien trop vite promis comme assuré d'office par ces princes orgueilleux tout bercés d'habitude que donne le pouvoir d'avoir toujours raison et dont notre Cinquième est la caricature.

     L'affaire se résoudra dans des incertitudes et dans l'imperfection, avec du temps perdu depuis déjà longtemps pour le plus grand malheur d'une population, quel qu'en soit le degré de culpabilité, qui n'est pas en état de décider pour elle et qu'on devra convaincre, avec tous les moyens que la situation justifiera, au prix du moindre mal.

     Belle occasion manquée par la France dans ce cas qui aurait dû permettre d'ajouter de l'honneur à une bonne action qui nous était sans risque et dont le bénéfice nous aurait fait grandir.

     Une preuve de plus qu'il nous faudra changer, mais radicalement, jusqu'au plus haut degré de nos institutions, les règles d'un régime qui mène le Pays jusqu'à la déchéance par incapacité de quiconque le dirige.

     Pensons dès à présent au profil de Marianne en Sixième République.

           

                                                                                   michel-la-six

 

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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 14:40

                                                  

                 tetepage

                      

                                  

Les idées des Verts pour les transports en commun plus l'action réalisatrice réaliste des ministères pour l'emploi et le niveau de vie ont porté leurs fruits (Ô combien pluriels !). On abandonne tous les projets autoroutiers et TGV. On va enfin diminuer la dette de manière significative et sortir de la récession avec une économie substantielle dont les montants annoncés sont à la mesure du destin de notre grand pays que l'on voit ainsi chaque jour grandir encore, à reculons.   Bravo pépère.     michel-la-six. 

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