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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 14:40

 

                     tetepage                                                       

 

 

      La plage et les baigneurs, le voile noir, le mari, contraste saisissant, éclatant de lumière et de vérité au soleil des vacances faites de libertés sans autres obligations que devoir s'obliger, pour soi-même et les autres, à l'auto-discipline d'un comportement discret nécessaire en ce lieu de promiscuité, milieu dont l'agrément est fait d'anonymat qui efface les castes pour le plaisir de tous, les petits et les grands, les maigres et les gros et les jeunes et les vieux, au gré de la nature qui modèle nos corps, objets de nos baignades.

     Un pavé dans la mare ? Un cheveu sur la soupe ? Hasard mal-et-contre-eux d'ingénue maladresse ?

     Se connaître de la fougue naturelle de madame La Ministre relève de Lapalisse tant par l'élan qu'elle donne au sentiment d'offense qu'elle a de prime abord, qu'à son goût pour le bruit qui fait tenir la scène au top cent politique où la cause défendue a  une raison cachée mais touche beaucoup de monde.

     Mauvais cheval pourtant, cette attaque sur la forme d'une provocation qu'on ne peut proclamer au risque d'encourir un juste désaveu de tous ceux qui, en toute bonne foi, se sentent provoqués par ces gestes voulus qui n'ont rien d'anodin quoique toujours mêlés au faits du quotidien pour nous accoutumer à des mœurs exotiques nullement dédiées au maintien  de jolies traditions mais plus concrètement à fonder un pouvoir, au religieux d'abord pour acception divine, perte du jugement pour guise philosophique, enfin au politique pour, en dominant tout, imposer son dictat sur une Humanité retournée au troupeau.

     Quels que soient les motifs de madame Morano, les faits nous sont sensibles mais la forme n'est rien, ni défis ni menaces, c'est le fond qui importe et doit nous décider, en haut lieu comme en bas, croyants ou non, écrivassiers, parleurs,  même ceux qui n'osent pas, qu'on ne consulte pas ou qui n'ont pas appris, ne serait-ce qu'à comprendre, à poser la question du choix qu'il faudra faire, trier le vrai du faux pour dénoncer en clair cette fumisterie du monde religieux, toutes formes confondues,  imposant à ses prisonniers des dogmes imbéciles, nuisances dont ils savent tirer force et profit.

     Pour aller dans le sens de ce qui fait scandale sans nous départager, je renvoie à l'article que j'avais fait paraître, relatant, pour le coup, un fait injustifiable de la part de préposés, j'espère encore, au respect de La Loi, quoiqu'ici il s'agisse des faux policiers de la Mairie de Villeurbanne, corps de milice dont j'ignore les attributions exactes.

          Article rappelé : "Villeurbanne, enclave saoudite".

                                                             Villeurbanne, c'est où, dites ?  

                                                                          michel-la-six

 

 

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 15:00

tetepage   

     Hors la loi "autorisée" par deux Policiers Municipaux de surveillance, ce matin vendredi 27 juin 2014, au Marché des Charpennes, à Villeurbanne , qui croisent une femme (?), voilée sauf les yeux, circulant dans les allées. J'ai abordé le sujet avec les deux préposés qui, aprés quelques réponses embarrassées à mes questions sur des consignes reçues, ont malgré tout admis mon constat de fait  "hors la Loi".

     Chacun choisit son camp. Anti, oui, je le suis, ni anti-bouddhiste, ni anti-juif, ni anti-arabe, ni anti-chrétien, ni anti-musulman, mais anti-religieux, contre tous ces escrocs de l'espoir qui, racontant des bobards, soumettent leurs conquêtes à des rites imbéciles commandés -directement à eux- par des dieux inventés pour asseoir leur pouvoir. Et je refuse qu'en France, on obéisse aux ordres de tous ces arnaqueurs en transgressant nos lois.

     Chaque jour, de partout, on peut le constater, on grignote nos règles au profit de conduites qui y contreviennent, en petit à petit pour nous y habituer. On doit s'y refuser, il en va de nos droits à la tranquillité et la sécurité.

     A ce sujet d'ailleurs, avérant le problème, circule sur le Net une pétition lancée par Marianne du 26 juin : Laïcité, il faut se ressaisir, que je n'ai jusqu'ici pas réussi à signer sur ma messagerie.

     Pétition d'opinion, un devoir citoyen, quelle que soit pour chacun, la religion qu'il a, le berceau d'où il vient.

                                                   Michel-la-six.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 09:15

 

               tetepage                                          

 

 

     Chez J-J Bourdin, BFMTV, j'ai vu ce matin monsieur Juppé, grand cru, de bordel-est, année 95, peu crédible depuis, nous faire son numéro, un ou deux c'est selon ... Sarko qui mal y pense.

     Pour l'immobilier immobile, la faute aux socialo qui  obligent aux dernières nouveautés les habitations neuves. Il suggère de réduire à quelques pourcentages seulement le nombre des logements respectant les normes d'accès au handicap qui augmenteraient par trop les coûts. Ah, les vieux neufs !  Adieu salles d'eau vastes, grandes portes et couloirs généreux, nivellement partout, voilà marche au balcon, à la douche, on serre les coudes aux portes des pièces secondaires, aux toilettes ce qu'on peut. Le prétexte étant là que la population n'est pas majoritairement handicapée, du moins physiquement. L'idée d'abord paraît logique si, gommant le progrès qu'on devrait tous vouloir, on oublie tous les vieux, de plus en plus nombreux, qu'on ne pourra pas tous mettre dans des foyers, augmentant fortement la proportion de ceux qu'on maintiendra chez eux.

     Monsieur Juppé, qui se plaît à nous la jouer "Homme d'État", contre la proportionnelle intégrale, ce que l'on peut comprendre au souvenir de notre Quatrième République, n'a, on le voit au détail et pour le général, refait, au mieux De Gaulle, aucune idée nouvelle qui le distinguerait de tous les autres égo qu'il stigmatise sans pour autant sortir d'un lot sans aucune vue d'un futur nouveau susceptible de rendre à La France un rôle de modèle, comme en d'autres temps, pour refonder l'Humanité sur des valeurs et un sens dont elle a bien besoin.

     A sa décharge on peut reconnaître qu'il fut bouc émissaire fidèle des risques acceptés d'un rôle aux avantages nombreux.

     Bien sûr qu'il ne veut pas de Sixième République, la Cinquième lui va bien, comme à Hollande et autres, qui se sont faits par elle et en ont profité, sans en subir le poids comme nous, les gouvernés.

     Pourtant si l'on veut bien et vraiment que ça change, il faut règles nouvelles car les hommes, ceux-là ou d'autres, ne voulant rien changer pour ne pas se détruire, ne pourront dans ce cadre, même s'ils le voulaient, innover en faisant les réformes corrigeant les défauts du présent et améliorant les acquis de notre Histoire.

     Puisqu'il faut remuer profondément le Pays, une Sixième République est la seule voie douce, légale et légitime possible, elle doit passer par Nous dans un référendum qui en décidera.

     C'est à nous, tous, d'y penser aujourd'hui pour nous éviter un demain risquant d'être explosif.

     Sur tous les points, d'actualité ou non, même les oubliés, peu urgents ou mineurs, pensez-y, pensez ce qui va bien, pensez ce qui va mal et choisissez la forme qu'on pourrait leur donner pour pouvoir, le moment venu, exercer de la meilleure façon votre pouvoir de citoyen.

                                                       Michel-la-six

 

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 17:42

    On entend, à propos des élections européennes, bien des çons de cloches, toujours très élitaires, aussi discordants que contradictoires mais dont aucune musique bien tempérée ne  ré  raisonnera dans les couloirs de la réussite du Parlement Européen.

     Je suis à gauche, même très gauche, répandant mes slogans par cris, dans l'invective toujours pour heurter par plaisir, celui de voir la crainte couper court au dialogue susceptible pourtant de faire gagner l'idée, mais il faut provoquer pour avoir l'air nouveau. Français est dépassé, l'Europe est très mauvaise. L'Étranger seul de tous a mon assentiment.

     Devenant Socialo, me voilà forcément, voie présidente oblige, à l'insu du plein gré, plus qu'un peu libéral, embaumé de sagesse pour notre économie, jusqu'à la gravité d'un jugement très sûr pour mes croyances d'hier, mon inertie présente, ma myopie pour demain avec la seule image de ma ré-élection.

     Au centre il n'y a rien. Pressions de tous cotés, du dessous, du dessus, de la droite et la gauche font un maelström incertain, mouvant au fil du temps, fait d'allers et retours en démarche hésitante qui empêche l'adhésion magré surabondance des meilleures intentions. Impossible pour moi d'être à ce point pluriel.

     Serai-je donc à droite ? MOI et Sarko, d'accord pour tout changer, on ne verra plus ça, la banque libérée du grand capitalisme, l'Entreprise associant l'intérêt producteur au bien consommateur, on va enfin pouvoir voir ce que vous allez voir !

Ah mais ! Mais le mais est plus grand qu'en printemps joli Mai, même en son jour premier, il me faut déchanter. Les vraies notes à payer dépassent largement les notes entonnées.

     Comme un dernier recours, comme aux années-40, quand le Français disait << être Allemand ou bien autre n'a que peu d'importance>>, il me faut essayer, après trop de mensonges, ce qui jusqu'à hier était jugé obscène, en dehors de l'arène des jeux admis à faire notre bonheur à tous y compris nos Césars. Rien n'est sûr autre que le passé, pour demain essayons c'est notre dernière arme avant révolution en autre République.

     Soyons nationalistes pour notre identité. Soyons Européens par intérêt d'abord, vraiment, dans le long terme, et l'intérêt des Autres, Européens aussi et tout autant que nous. C'est un juste équilibre qu'il faudra rechercher plus qu'idéologies si on veut le progrès. Je connais depuis peu l'heureuse initiative née en Land de Sarre et que sa Présidente, madame Anngret Kramp-Karrenbauer souhaite mettre en œuvre, projet pour un français appris dans les écoles et même plus, étendu à tout indicateur du domaine public avec la langue allemande pour bien concrétiser même dans le quotidien un bilinguisme usuel révélateur d'espoir Européen par volonté commune. Voilà un bon départ.

                            Michel-la-six. 

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 18:10

      La drôle (?) de cuisine, manquée, de moules si haut-placées, a de quoi surprendre le Martien qui débarquerait dans le con-cert de nos média, nos orienteurs sur ordres comme il convient à tous nos affidés élus, PS ou UMP, rassemblés sur le thème : <<Vladimir est un sagouin prônant l'illégalité du renversement d'un Élu intègre  (pas possible en France, les yeux-dans-les-yeux) et ne voulant pas reconnaître la légalité bien légitime de l'équipe nébuleuse dont l'Oncle Sam s'occupe à Kiev depuis le tout début de la révolution orange, pour ne pas dire bananière>>.

     Ici, dans RICANONS, avec Pangloss, Haroun, et d'autres Ricaneurs, j'avais par mes articles, commentaires et réponses, prévu, craint et même envisagé l'impasse où nous sommes aujourd'hui. Nous n'y reviendront pas mais il est encore temps, pour éviter la casse, grave, de faire des souhaits satisfaisant chacunes des parties engagées, seule solution possible.

     Je ne vois, pour ce faire, qu'une porte de sortie : la CONFÉDÉRATION UKRAINIENNE.

     De tous les points de vue :

  1/: Les Ukrainiens d'abord.

       De tous temps dispersés, partagés et souvent opposés jusqu'au dernier conflit entre Allemagne nazie et Russie bolchevique, ils aspirent, tous, au fond, à une vie meilleure dans un calme durable assuré par le poids d'accords et de statuts dans les règles mondiales. Question référendaire qu'il faudra leur poser : Voulez-vous Une Confédération Ukrainienne ?

   2/: Nous, La France.

       Notre choix, limité, consiste à respecter, d'une part nos Alliés Américains, pas toujours amicaux mais souvent nos sauveurs, d'autre part nos Voisins Russes, largement dominants sur notre continent, dont le dernier passage dans les rues de Paris remonte à la naissance d'un mot nouveau : bistrot. Forcés à l'équilibre entre alliance Américaine, serrée mais lointaine, et convivialité dans la proximité du voisin Russe, nous devons faire plaisir aux deux, et donc privilégier, par le référendum, la partition en États souverains liés en Confédération. Les Américains avanceront l"OTAN et les Russes conserveront un glacis protecteur.

     On peut se rappeler que c'est l'Amérique, avec appui de LU-E, qui est à la source du problème, la Russie n'ayant rien demandé avant la "Révolution Orange". Et depuis, les appétits s'aiguisent. Espérons.

              michel-la-six.  

 

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

                                                                           ____________________

 

                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

                                                                            ____________________

 

        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

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                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

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        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35

 

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                                               (  sur le constat d'Haroun : Des municipales...Démunis si pâles... )

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        tetepage                                                

 

      Les Fonctionnaires :  Qui ? Les personnes  dépendant, comme titulaires, ou non, d'une structure d'État et œuvrant à ce titre dans son administration.

      Leur nombre, qui varie quand des catégories entrent ou sortent de cette appellation au gré des politiques de nationalisations et privatisations, chiffre toujours croissant en dépit des progrès de la technologie, devient charge trop lourde s'il dépasse le besoin qui doit le justifier. Comment bien l'ajuster quand on sait, Haroun l'a bien décrit, qu'il dépend grandement, pour ne pas dire surtout, d'aléas de la vie de tous ceux qui le gèrent, sensibles aux pressions utiles à leurs carrières et satisfaisant donc la plupart des demandes. On en ferait autant, il faut le reconnaître.

      Cette situation, pourtant, ne doit pas perdurer au risque de nous perdre. On en connaît les causes, multiples, souvent même explicables en l'absence de règles limitant à la fois et les solliciteurs et les sollicités au bénéfice de tous. Le domaine est bien vaste, mais les cas se ressemblent quant à leurs solutions si l'on veut oublier sa caste, ses privilèges et ses a priori. Il faut que le remède convienne au responsable, stimule le préposé, réponde à l'usager.

      D'abord il faut admettre, en règle générale, que la fonction publique recouvre un territoire, plus souvent le Pays mais ses découpes aussi et jusqu'à la commune, tant qu'elle existera. Il va de soit, bien sûr, hors la Banque de France et Caisses Générales concourant au contrôle, que la banque est exclue du domaine public où on a pu la voir en plusieurs occasions avec d'autres égarés fabricants de voitures, compagnies aériennes ou industries diverses. Par contre il est normal que des activités couvrant tout le Pays, SNCF, Poste, EDF et autres aient un statut à part qui permette à La Loi, Une et Républicaine, de garantir partout la même qualité.

     L'irresponsabilité semble bien être là tout le nœud du problème que représente la charge, financière, sociale et politique d'une Administration trop chère, trop lourde, lente, mal formée, peu capable dans la routine, sans réactivité en face de l'exception, dont le statut figé conduit à l'inaction que le public réprouve, créant la prévention et l'animosité.

     L'immuabilité des statuts du Service Public, en théorie le gage de la stabilité, empêche l'évolution dans le temps politique de la Vie Nationale. A tous niveaux on entre, très souvent, dans ce cadre, plus pour y perdurer que vouloir évoluer. L'initiative ici est forcément absente et plutôt mal venue.

     Ce tableau général du monde des "Administrations", éclairant ses points faibles, permet mieux de cerner les cibles à atteindre et aussi discerner les chemins qui y mènent ou pourraient y conduire.

     Pour un premier exemple, le problème du surnombre, le plus souvent lié à la proximité créant promiscuité et moyens de pression entraînant un laxisme nuisible pour la règle et même l'honnêteté, il faudrait que ce nombre découle d'un souci d'équilibre entre luxe et besoin, dans un choix de critères, financiers, de confort, libéré de toute ombre. Les <<polices>>... municipales sont le mauvais et le meilleur exemple de boursouflage, connu, des personnels communaux, boursouflure ici dûe trop souvent aux pressions de voisinage que doit subir le Maire, avant tout un Élu et donc très dépendant quant à son avenir. Une des solutions serait de faire gérer, de plus loin, de plus haut, par l'État, l'ampleur de tels services en fonction des chiffres de population, services payants pour des agents nationaux dans toute leur hiérarchie, non pas municipaux, cantonaux ou autres. Chacun, à son niveau, devrait donc s'engager, la Commune, par exemple, pouvant, de quelques pourcentages, modifier le principe, pour le temps d'un mandat du Maire, s'assumant responsable, en toute liberté, du choix de la dépense. La règle vaut bien sûr pour chacun des niveaux du découpage du Pays, louant des personnels au tarif que l'État fixerait par les coûts dont il aurait la charge quant à la formation et au fonctionnement.

     Là il paraît utile et plus facile ici, dans la Fonction Publique ou Services Généraux, chaque spécialité, Police, Gendarmerie, etc, étant considérée comme un établissement fournissant des services, d'initier la réforme d'échelle des salaires au sein d'une Entreprise, et dans son harmonie et sa modération qui seraient limitées par règles nationales, générales, fonction du nombre, fixant l'écart limite entre base et sommet avec répercussion dans tous les échelons ou grades, chaque écart pour un chef étant justifié du nombre de ses subordonnés dans l'équipe, le service, etc... Ainsi évités les trop grands écarts de rémunération, voilà, et par avance, réglée une fois pour toutes la source de la plupart des conflits internes nuisant à l'Entreprise, ici Service Public, dans sa stabilité et donc ses résultats.

     Débarrassée de ce poids, l'"Entreprise Publique"  se devra d'assurer à tous ses personnels des revenus décents indexés d'origine sur le coût de la vie, fluctuant avec lui.

     Voilà donc nos "Entreprises Publiques" libérées des Politiques dans tous leurs avatars, redevenues d'État par leur indépendance. On y fera carrière, comme en toute Entreprise, avec la certitude de son choix par cette transparence des statuts de chacun, dans la sécurité de l'emploi assuré.

     Il paraît évident que, dans ce cadre là, le recours à la grève ne s'expliquerait pas et qu'on pourra l'admettre, par souci de libéralisme égalitaire, à condition du poids d'une écrasante majorité, à fixer, et dans tous les cas soumise à retenue sur paye.

     Dernière touche au portrait du "Fonctionnaire Idéal" : être absolument sans tache et pour postuler et pour s'y maintenir.

 

     J'ai présenté ici un schéma, à débattre, qui me semble pouvoir supprimer beaucoup d'inconvénients du système d'aujourd'hui, délivrant à la fois l'État, ses Services et Nous Tous, de soucis permanents, source d'affrontements inutiles et nuisibles, à tous les points de vue.

 

                  michel-la six  

 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:05

 

               tetepage                                                                                              

 

         De bâbord à tribord tout comme en jeu de quilles, se battant comme des chiens et se lançant des boules pour torpiller l'ami qui devient adversaire de l'horizon qu'on a, souvent inavoué, si l'on sent qu'il fait route, lui aussi vers ce but, on voit nos politiques, les journaux, les radios, les télés, disputer devant nous de droits et de devoirs qu'ils sont sensés connaître, en étant l'origine ou bien la diffusion.

         Que nenni !

         Tout d'abord relevons que partout le pouvoir s'arroge tous les droits aptes à le maintenir. C'est d'ailleurs dans ce but qu'on créa "La Cinquième", République tout-en-un d'un État monarchique aux mains de roitelets se constituant des cours plus soucieuses d'elles-mêmes que de traiter des lois.

         Le populo voit tout, entend tout, ne sait rien, comparé aux Arrias qui le prennent à témoin, montrant leurs connaissances d'un Droit dont ils ne tirent que ce qui les arrange. Contradictions, mensonges, tout est minimisé au profit de scandales dont ils sont les victimes, arguant de la justice et de la vérité, comme si elles existaient, qu'ils en soient le portrait. L'investigation, judiciaire, policière, se doit de disposer des moyens nécessaires à la détermination de la mesure d'une innocence, d'une culpabilité. L'écoute est un outil, légal et légitime, pour l'État, d'enquêter.

         Mais voilà qu'on entend, sonnant à coups de trompe, des ténors de médias et autres confréries exiger le respect du secret absolu pour ce qu'ils considèrent domaines "sanctuarisés", j'ai entendu ce mot, accordant, c'est heureux, une limitation aux avocats, bien sûr, aux médecins, aux curés.

         Pour les curés déjà, le secret ne tient pas. Curés, imams, rabbins, lamas plus ou moins dalaï, dieu soi-même, (vive le Tibet vive la Fr  vive les Chinois) et autres vains faits du même tonneau, tous imposteurs notoires de foules trop naïves restées dans l'ignorance, auxquelles on fait subir, sous la rigueur des dogmes, harcèlement moral, pressions économiques et menaces diverses, avec contraintes de rites plus ou moins à la c.. pour faire disparaître l'Individualité, c'est déjà faire honneur à cette classe là qu'on veuille la traiter comme on le fait pour tous.

         La relation, intime, du docteur au patient, réduisant l'intérêt, pour d'autres, à s'immiscer, rend la priorité aux besoins de l'enquête par les Autorités.

         La gent des avocats, qui se montre partout, prétend qu'elle est lésée, crie à l'inquisition, au non respect des lois pour atteinte bien sûr d'abord à son statut, qu'elle croit prérogative, privilège de droit, prenant dans son sillage la défense du droit de chacun des  clients comptant sur sa défense. Entrant dans ce cynisme, s'il est vrai que l'on peut, en toute bonne foi et à première vue, voir comme un espionnage, incongru, excessif, répréhensible même, la surveillance par écoute des conversations, sur les réseaux publics de télécommunication, entre avocat et client, le point de vue ne tient pas et ce pour deux raisons.

         Le client tout d'abord, libre de se gérer, peut et doit réserver le temps des confidences, celles pouvant lui nuire, au contact direct avec son avocat, encore s'il veut en faire, car rien ne l'y oblige.

         Et pour l'avocat, mieux, il n'a pas à connaître, quant à ceux qu'il défend, ni culpabilité ni réelle innocence, son rôle consistant à faire coïncider défense du client et règles judiciaires pour y choisir celles qui sont plus favorables. L'avocat qui ne fait aucun recel des armes, faux papiers ou cadavres pour plaire à ses clients n'a, partant, rien à craindre de cette procédure.  

         Voilà que je soutiens, semble-t-il une thèse, chère au Gouvernement. Tant de contradiction, de mensonge constaté, ont prouvé maintenant que le Régime est vieux, fini, incontrôlable, qu'il faut le remplacer, profitant d'expériences prouvant que ça n'est pas en changeant de personnes qu'on fait le changement et surtout pas avec tous ces indignitaires qui l'offrent en promesses.

         Que la démocratie au moins chez Nous revienne, réhabilitons la, ré-habillons Marianne, en plus Belle,  en SIXIEME.  

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 15:46

La récolte des "Oranges" ne s'est pas fait attendre. Ricanons l'avait déjà prédit, au moins dans deux articles, "La chronique du weekend(84)" et "Ukraine...de violence". C'est lancé, ça galope et, déstabilisée, l'Ukraine redevient, pour les trois "grands" du moins, Russie, Amérique et Europe, la nouvelle Syrie. Comme quoi leçon d'Histoire ne sert pas à grand'chose. Là le danger pour nous, tous les Européens, est un retour de flamme d'époques dépassées qu'on croyait révolues. Les Ukrainiens, leurs cœurs, leurs goûts, leurs Langues, sont d'abord Polonais, ou Russes, même Ukrainiens. Leur Langue existe-t-elle, tant Elle est mélangée. Très peu souhaitent l'Europe, si Elle y met le prix mais celui des deux autres reste bien supérieur. La Russie pacifique, comme celle d'avant, a besoin d'un glacis de protection passive à sa périphérie, l'OTAN cherche toujours à resserrer le siège qu'elle a mis de longtemps à cette forteresse et nous sommes l'enjeu, nous, les Européens, trop faibles pour contrer cette rivalité, otages de ce jeu  incessant depuis la guerre mondiale. Pour le bon équilibre, éviter le conflit et tirer notre épingle, vu que les "Ukrainiens", actuellement unis par tous sauf par Eux-mêmes seraient bien mieux lotis chacun avec son camp, occidental ou russe  c'est un référendum qu'on devrait promouvoir sur cette question là, occasion formidable de reprendre, à long terme ce rang de si longtemps perdu, la maîtrise du sol sur notre continent en tendant notre main et à l'Allié de l'Est et à Celui de l'Ouest, chacun trouvant son compte par la stabilité. Oublions la bande de dons (je fais des fautes de frappe) qui a tout déclenché et espérons, pour tous.

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