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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 18:00

                                                                  

                                                              tetepage    

     De tous temps on a vu l'Homme se créer des dieux avec l'aspiration, tenue dans le secret, d'en reprendre le rôle pour satisfaire son goût de pouvoir, de richesse et de gloire. En celà, je l'avoue, la Femme fut plus sage, mais aujourd'hui Elle a perdu cet avantage car Elle veut désormais égaler partout l'Homme, perdant du coup bien sûr la différenciation lui faisant qualité. Une de moins, vous riez, que lui restera-t-il ? Paraître misogyne pour rire un peu de tout m'amène à l'islamique qui est d'actualité et qui, sur le sujet de la féminité, faisant dans le sévère, ne se prête pas à rire, même s'il nous donne à rire par tant de ridicule que s'en est à pleurer. Mais si des gens s'y prêtent, c'est de leur liberté, tant qu'on garde la nôtre. L'islamique chez nous, donc, depuis quelques temps, annonce à son de trompe, on trompe comme on peut, et par ayatollahs divers et variés, son entrée dans la science et le positivisme pour la date ouverture d'une période jeûnée correspondant chez nous au carême chrétien et qu'on nommait ici, encore il y a peu, le ramdam.

     Rire d'Adam ou Êve pour généraliser permet de se moquer de la mode des sectes, toutes congrégations imposant comme des vérités rites et fariboles que par naïveté, docilité ou crainte, on accepte et maintient. L'Europe connaissait génuflexion, prie-dieu et lancer d'eau sacrée, ailleurs pour la prière, on doit, car c'est la règle, mettre derrière en l'air, en tout bannir le porc jusque dans les bougies, en Asie, pratique, le moulin à prières se fatigue pour nous ou bien on peut jouer, comme lépreux d'antan, du tournis de crécelles pour s'allier des dieux, d'autres se font des couettes et,comme autel des Lares, pendent devant leur porte une patte de lapin (que moi je nomme ainsi).

     Tous ces gourous divins sont dangereux bien sûr, mais pour ceux qui acceptent de vouloir s'y soumettre. Papes, curés, immams, rabbins, lamas, n'ont de pouvoir chez nous que sur des volontaires. Il faut s'en préserver, bien sûr et les tenir cloitrés, à leur frais, dans les lieux qu'ils adoptent pour leurs cérémonies, lieux fermés mais toujours accessibles à un public banal étranger à leurs dogmes.

     Il en va autrement de ceux qui nous gouvernent. Par nos institutions on leur donne pouvoir, et c'est là le danger, de régenter nos vies sans qu'on n'y puisse rien qu'à changer les personnes à la fin du mandat. C'est la démocratie, j'entends bien la critique, mais est-ce démocratie que les règnes alternés de deux groupes seulement, qu'on caricature peu du sigle UMPS, représentant chacun à peine un tiers du tout de notre électorat, ignorant l'autre tiers, multiple et éclaté, comme le Tiers-État d'avant Révolution, plaçant leurs petits rois à chaque mandature dans la légalité voulue par La Cinquième mais qui sont entachés, il faut le reconnaître, d'illégitimité.

     Les bonnes volontés, pour autant qu'elles existent, on l'a vu chez Sarko, on le voit pour Holla, ne feront pas sortir Le Pays de l'ornière et l'Ouvrier a tort de croire dans la parole de cocos élévés dans un système qu'en tout les a si bien servis. On ne doit rien attendre de tous ces prometteurs qui sont dans l'imposture, preuve en est tous les jours.

     Sans nous remettre aux mains d'un quelconque gourou, il faudra s'accorder sur un fond obligé en gage de réussite et ce avant d'en être arrivé à l'extrême provoquant l'explosion.

     Une SIXIÊME s'impose, d'abord, pour réussir, pas seulement les riches, pas seulement les pauvres, mais rapprocher partout les intérêts en cause pour rassembler enfin et retrouver la force, au contraire du présent qui divise à plaisir, médiocrité peut-être, sûrement par bêtise.

                                                                          A plus tard,  michel-la-six. 

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 18:35

     Les explications (Manuel/forums), peut-être fournies par un Pygmée à un Esquimau qui les a passées à un Japonais, de là à un Berrichon qui les a reconduites dans le patois qui m'est parvenu, ces explications, pour autorisées qu'elles soient dans le langage courant dont -usent- bien souvent les foldingues du "NET", ne m'ont pas convaincu. Je m'avoue donc vaincu, pour le reste il sera toujours temps.

     MA QUESTION EST : PEUT-ON, ET COMMENT, INSÉRER UN DOCUMENT (autre que image ou vidéo, ça clairement proposé) DEPUIS MON ORDINATEUR, DANS UN ARTICLE ??????????????? 

     Mon caractère n'est pas spécialement inhibiteur mais je suis là empêché, bien embêté.

                                  Appel à Tous, exemple(s) bienvenu(s).

                                                Merci d'avance.

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 19:00

                                    

                                                               tetepage

                                                       

                                 

    La France des Trois Jules pouvait s'enorgueillir d'avoir su instituer cette École gratuite, laïque, obligatoire, support d'évolution pour promouvoir un Peuple au niveau de Nation. Depuis, tout au fil des années, beaucoup trop de julots ont voulu ajouter, pour leur gloire personnelle, chacun son grain de sel au seul fait de contrer le ministre d'avant. On voit où nous en sommes, chacun dans son secteur peut en être témoin pour peu qu'il soit  lui-même en pouvoir de juger par sa propre expérience ou d'un choix qu'il aura fait de bonnes références. L'Ècole était la loi de Notre République pour faire des Citoyens capables de leurs choix pour leur appartenance à une Société communément bâtie.

    On a d'abord voulu faire dans le modernisme en ouvrant au laxisme, en guise de liberté, l'échelle des rapports d'un monde organisé là où pourtant le but est de socialiser. Adieu aux références, le temps vient à chacun selon sa bonne humeur, aucune discipline, surtout pas de contrainte, mieux que dans la famille, on tutoie sa maîtresse qui a perdu son titre au profit d'un prénom, supprimons l'orthographe, l'Histoire et la géo, la note est l'injustice. Le public, en client, est en droit d'exiger, comme élève ou parent, qu'on courbe à sa façon la règle générale que personne d'ailleurs ne songe à appliquer, comme en d'autres domaines de justice privés. La pédagogie reine est manière et matière, se substituant à tout, confusion de l'objet, qui devient secondaire derrière la méthode plus ou moins adaptée.  Le brave Instituteur, dont on a fait un "prof" de niveau bacc+∞, court derrière un programme inutilement enflé d'options obligatoires pour la satisfaction d'un orgueil mal placé de quelque directeur de quelque-chose, programme trop chargé d'accessoires inutiles, je parle pour le primaire, impossible à boucler dans les formes requises au sein d'une telle ambiance. L'Instit surdiplômé n'en fera pas plus qu'un autre s'il ne suit qu'une seule voie pour passer un savoir, non le sien mais celui dont l'élève a besoin. Il faut au bon apprentissage d'un enfant du primaire une partie de jeu qui fait vivre l'exercice par des approches multiples de la difficulté. C'est là en vérité qu'on peut, en jouant des exemples, astuces, curiosités, provoquer l'intérêt à différents instants qui, par la succession des points de découverte, rendent le temps moins long pour la classe et le maître. Bien sûr, l'idéal maître, qui n'a pas existé, n'existera jamais, serait celui pourvu parfaitement du sujet concerné mais n'ayant sur l'élève qu'une leçon d'avance, avec le souvenir de ses difficultés pour mieux les prévenir chez celui qu'il enseigne.

     Après la discipline, forcément nécessaire, naturellement requise pour l'environnement, et la pédagogie, la méthode enseignante, il reste les programmes.

     Concoctés dans des cercles où des maîtres à penser ayant pris leur savoir trop longtemps en avant, qu'un besoin justifiant de position oblige ou simplement nature primant la connaissance, peu importe le cas, on a vu de longtemps les modes balancer au gré du bon plaisir ou bien de spécialistes pas plus crédibles ici que ne sont ces prêcheurs des règles économiques qui font la réussite et n'ont pas vu venir, ni admis qu'elle est leur, la crise gigantesque qu'on ne résorbera que par le changement, pas celui qui est dit, celui qu'on doit vouloir. La charge du primaire, c'est de faire des primaires, comme nous l'étions nous tous au vieux temps du <Certif>. Apprendre, bien à fond, la Langue tant à l'oral qu'à l'expression écrite, vraies clefs de réussite pour faire des Citoyens et la mathématique dans ses bases courantes de quantification du domaine ordinaire des problèmes quotidiens, gymnastique d'esprit dans le calcul écrit, dans le calcul mental et les automatismes que permet le par cœur. Il faut aussi l'Histoire et la Géographie, intimement liées dans un cause à effet qui explique notre Monde. Voilà de quoi très bien meubler déjà les heures, les jours et les semaines et sans qu'il soit besoin, vraiment d'en ajouter, d'en bouleverser le cadre, il restera du temps pour y faire l'accessoire, une langue étrangère, approchée à l'oral, comme jeu de découverte dans le cycle moyen, pour tous aussi mais sur un plan pratique, un peu de sciences de l'environnement naturel et quelqu'autres gadgets bonifiant l'ordinaire s'il reste encore du temps. Du temps, même on aura pour faire un peu de gym, juste un peu pour apprendre la discipline du corps, la vraie gym de l'enfant, l'Européen s'entend, c'est le jeu, à la récré, partout. Quant aux arts, la Kulture, à la maison peut-être, mais très légèrement.  

    Et cette nième réforme qui veut tout modifier prolongera sans fruit la démarche imbécile poursuivie de longtemps par tant de beaux ministres inefficaces, ineptes, au vu des résultats.

    Tout le poids de l'échec n'est pas là, il est vrai, mais c'est le principal. On a bien vu, plus haut, le mal des habitudes dans le laisser-aller en guise de liberté et pour l'égalité la familiarité. Les enseignants ont pris maintenant le tournant de restaurer le statut qu'Ils avaient d'un mérite de partout reconnu. Les Parents, pour la fin, devraient aussi jouer le rôle de soutien, même passif, qu'ils se doivent pour le bien des enfants dont ils sont responsables. La régularité et le respect des temps nécessaires au bien vivre, nourriture et sommeil, principaux éléments, allégeraient les charges qui pèsent sur l'élève, gênant sa réussite.

    Pour le reste, les rythmes d'une année scolaire tant décriée partout, gardons nous de changer pour la gloire d'une action qui laisserait sa trace l'équilibre fragile qui régit des domaines souvent contradictoires, et d'abord les Parents, outre les Enseignants, qui sont aussi Parents, les Élus, les transports, toute l'activité du pays que l'École cadence au rythme des saisons. Vouloir toujours réduire l'espace de vacance de cette Institution, c'est ne pas prendre en compte la charge d'un métier qui dépasse ce titre et troubler sans motif totalement avéré la vie des Citoyens qui ont d'autres soucis. A ce propos d'ailleurs me revient à l'idée qu'avant tous ces remue- ménage, le calendrier scolaire nous offrait, généreusement, l'été, la période bénie de nos <grandes vacances> longue de deux mois et demi sans parler de ces jours de rangements d'armoire et de jeux d'osselets dans la cour de l'école, qui clôturaient l'année souvent avant la date et laissaient un regret à l'heure de la quitter.

    Pas plus bête pour autant, telle est ma conclusion.         

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 11:20

 

   

 

                                                        

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                                                                   images et musiques, court instant de détente.

                  

                                              

          

                                                                        

                                                                                          Merci de Votre visite.

 

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 19:10

 

   Un essai ... vraiment pas atomique !

 

                                                        

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Voilà la vidéo çi-après : images+musiques.

                  

                                              

          

                                                                        

                                                                     ET QUE PERSONNE NE RI-CANE. Merci.

 

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:02

    Sois Frais : Vouloir se rafraîchir pour se renouveler, raviver ses idées, nécessité pour tous, autant nous, de la masse, que ceux qui nous dirigent, pour sortir du carcan qui nous immobilise et laisse tout aller aux caprices du temps. Tout d'abord ne plus croire. Ne plus croire bêtement aux "zélites" instituées, désignées et pérennes, affirmées, reconnues à longueur de discours de par tous les médias. On n'est pas, ni ne naît, élite permanente tout au long de la vie, même du plus méritant, qu'on le soit par un fait, une mode, réussite sociale, hasard d'actualité qui place l'inconnu sous les feux de la rampe. On le voit encore mieux des milieux politiques, carriéristes acharnés, tels ces gens, ces Jean-François Copé et ces François Fillon, filons de journaleux, se révélant vraiment plus que très mal lotis pour leur sens du respect qu'ils se doivent des mandats qu'on leur avait donnés, qu'on pourrait leur donner, mais qu'ils ne semblent pas capables d'assumer. S'émanciper des dogmes, religions de partis imposant pour seuls choix  un capitalisme libéral sans limites, droite et gauche confondues de minuscules nuances dans le très convenant libéral-socialisme, prêt à tout continuer, ou l'autre religion, la période en est pleine, religion verte ici qui veut limiter l'Homme dans toutes ses actions, réduisant son progrès au maintien d'une nature rêvée, fausse image créée d'un passé idéal dans le cadre duquel il faudrait tout figer. Avec des Sarkozy, des Hollandes et bien d'autres, plus ou moins impliqués, les résultats sont là, que nul ne peut nier. Tuée des jeux d'argent la Société n'est plus. Pour la secte écolo qui n'a pas gouverné, tous les mots sont permis puisque les maux qu'ils portent ne sont que des promesses trop entachées d'erreur pour sembler responsables. Joly fut belle preuve, puis tout au fil Duflot et bien Placé, Mamère, le pis est à venir de l'annonce qu'ils nous font, nous les marris d'avoir à pleurer ou à rire des sauveurs de planète, de tous ces verts de Terre qui repeignent pour nous tout l'environnement aux couleurs d'un autre âge et de l'inquisition.

    Sois franc. Comment le demander, réclamer d'un Ministre ou d'une Mini-stresse, d'un Premier Ménestrel qui connaît la musique, enfin d'un Président, qui culmine et dit tout pour ne pas retomber, exiger qu'ils le soient, poissons sachant nager, même en eau pas très claire, évitant les remous, nageant entre deux eaux dans le bocal étroit d'un régime fait par d'autres et dans une autre époque, mais le seul qu'ils connaissent, celui qui les a faits, les a privilégiés, et dont ils n'imaginent aucun bouleversement sortant de l'ordinaire d'un décor établi pour la continuité n'offrant au changement que des dangers trop grands à celui qui s'y risque et qui préfèrera, pour montrer qu'il agit, lancer  des réformettes contentant quelques groupes ne formant pas parti, que l'on pourrait rallier dans la facilité. Avec quelques grands mots on fait de bons prétextes. Pour faire égalité, on donne le Mariage à des gens de même sexe avec les "accessoires" liés à la descendance et bientôt est prévu d'ouvrir aux étrangers, extra-européens, le droit d'aller voter pour la raison qu'ils payent  les charges ordinaires afférentes aux services qu'ils peuvent utiliser par leur simple présence. Pour les uns, le mot même de Mariage, si ma langue est française, est en dehors du cas qui, sans péjoration, fait partie aujourd'hui de notre Société, sans valeur inégale, tels qu'ils sont hommes et femmes, différant par nature et le rôle qu'elle leur donne, chacun ayant le choix, en toute liberté, ou de s'y conformer, ou de s'en affranchir pour fonder autre chose. L'absolu ne se peut même en égalité qui veut que tout Français est égal à un autre, mais il est depuis peu bien des compatriotes, qui, venus de Sociétés fort éloignées des nôtres, communes à l'Occident, pourraient sur ce plan là, revendiquer le droit à la polygamie, à la polyandrie, justifiant de leur droit à leurs propres coutumes, vus que pour la plupart ils sont ressortissants de quelqu'ailleurs, et, France, en légitimité pour disposer des lois de chacun des Pays dont ils sont justiciables. Pour les autres et le vote, la solution est simple, devenir des Français.

    Sois Français. Le voussoiement n'est plus, même aux plus hauts niveaux, la forme de l'échange la plus utilisée hors de l'intimité, on l'a vu récemment au mode impératif d'un "casse toi, pauvre c..." du fait d'un Président ne faisant pas semblant d'oublier qu'il l'était, ou qu'il aurait dû l'être, peut-être sous le poids d'un moment de fatigue sans doute résultant d'horaires trop matinaux, de cadences élevées, harcèlement moral ou souci de loyer, j'avoue en oublier. C'est pourquoi me voici, sous forme d'apostrophe, m'adressant à Celui, supposé au présent nous représenter tous, lui envoyant ce vœu, en notre nom commun à tous les gens qui pensent, quel que soit leur parti ou leurs affinités, qu'ils sont La Société voulue bien avant nous, qu'il nous faut maintenir, par respect de Nous-mêmes et de tous nos Anciens, cet héritage transmis. Le chapeau que je porte, le nez que j'ai moins long, la couleur de ma peau, ne m'identifient pas en tant que citoyen pas plus qu'au fait d'avoir pour me représenter un Monsieur Président dont partout il existe tant de déclinaisons. Citoyen et Français, c'est presque un pléonasme tant les mots sont liés, au moins pour l'ordinaire, le commun, le vulgaire, celui qui ne doit rien à la démagogie ni à l'envie d'avoir sa page dans l'Histoire, même divertissante. Là, plus question de rire, on veut faire voter pour les municipales, il s'agit d'un début (sans précédent !) sans suite à ce qu'on nous en dit, parmi les étrangers passant sur notre sol, ceux qui n'ont pas tué, si la preuve se peut, et s'acquittent des charges que leur présence entraîne, et TVA comprise. L'argument qu'on répand est surtout celui-ci, j'ose croire que les autres, s'il en est, ne vont pas jusqu'à autoriser droit à d'autres scrutins en fonction du montant de leur contribution ou des fluctuations de notre belle monnaie. Avant que soit fondue en unique Nation toute l'Humanité, beaucoup d'évolutions et de révolutions auront dû être faites et pour longtemps encore, Le Français, Citoyen, se différenciera de nombre d'occupants d'un Monde très divers. Comme on l'a vu plus haut, rien de particulier ne peut différencier ce qui rend Citoyen parmi les occupants du sol dans l'Hexagone, ni respect de la Loi, ni convivialité, c'est dans le libre choix exprimé par le vote que nous avons pouvoir de faire Notre Nation telle qu'Elle est Constituée et dont Le Président est supposé garant. De ceux qu'on a connus, avant, dans cette République, de toutes les couleurs mais s'adaptant au rôle, personne jusqu'ici n'avait remis en cause, même au nom de l'Europe, ce principe fondateur du ciment liant le Peuple avec sa gouvernance. Monsieur Hollande est là, seul de cet acabit qui veut faire citoyen l'étranger qui se plaît dans sa situation au point de ne pas faire, en toute liberté, le choix d'être Français, un premier pas en preuve de sa capacité à exercer un choix, ce qui fait Loi chez Nous pour nous donner un Droit. Et ce Président là n'est pas tombé d'un train , ni de la dernière pluie, qui s'occupe de la paille qui ne lui coûte rien plutôt que de la poutre pour nous toujours plus chère, devrait être passible, en mode moins laxiste, d'une mise en question et de ses qualités et de sa compétence à exercer un rôle où le moins qui est dû est de nous rassembler au lieu de faire régner la bêtise de querelles inutiles, évitables, qu'entraîne l'ineptie de l'orgueil de montrer que l'on a, quelque part, peu ou prou, du pouvoir.

                         

                                                            m-l-s

                                                       michel-la-six 

                   

                     

                                               

                                            

                    

         

 

                      

                                            

                         

                    

                           

                

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:00

   Mariage pour Tous !  Égalité pour Tous ?  Non !  Seule l'homosexualité, à deux, est ajoutée, sans polygamie, polyandrie, communautés diverses, dont nos concitoyens bi-nationaux pourraient se prévaloir, sans même jusqu'à penser aux mélanges de genres ou d'espèces questionnant la morale.

   Les mots étant les mots et les choses ce qu'elles sont, un chat restant un chat, Père et Mère définissent à eux deux l'enfant au civil comme au physique, depuis son origine jusqu'à son devenir dans des règles de descendance clairement définies créant l'identité.

   La légitimité de la PMA n'est pas en cause ici, elle qui subvient au besoin des familles qu'un défaut de nature, anomalie accidentelle,  prive de leur bonheur.

   Pour les couples de même sexe, l'adoption bien encadrée avec Père et  Beau-Père ou bien Mère et Belle-Mère, permettrait, par une union civile précise, l'égalité du droit de tout enfant à prendre du bonheur et pour les adoptants apprendre à en donner.

   On voit bien les limites , de tout, même de l'égalité, bornée à un sujet, forcément dans un cadre le définissant. J'aurais mieux aimé voir, pour la belle occasion d'officialisation d'un fait de société, l'homosexualité, un grand pas en avant de notre évolution, pour Nous tous, hors la droite ou la gauche, se faire le consensus d'une union nationale que l'état du Pays nécessite aujourd'hui, plutôt que la cassure, majeure, tranchée, qui vient encore creuser un fossé qui sépare en clans antagonistes une population jusque-là hors des dogmes et idéologies nous portant aux excès par leurs raisons factices et leur intransigeance.

   Avec quelques noms simples, le souci d'équité et règles de bon sens, on eut pu bien mieux faire.

                                             

                                                                             michel-la-six

                                                                                   m-l-s  

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:00

                                          

                                      tetepage

                          

                                             

     Le blog, nouvelle arène pour moi, où les idées s'expriment sans qu'on puisse placer dans la vie leurs auteurs, sauf par a priori les classant dans les cases de nos vues établies, subjection préalable à l'interprétation, ce milieu irréel me déconcerte un peu et freine ma raison.

    Le rail de votre article, monsieur Descartes, tout autour de Florange, est sans conteste fait dans le meilleur acier mais sur la voie qu'il mène par trop de pessimisme on n'échappera pas à la peur d'exister ni à la régression, inexorable chute dans laquelle nous vivons, si nous restons figés dans le cadre existant bâti de certitudes faites par l'habitude et la résignation.

    Vous êtes rationnel, c'est dans votre nature autant  que votre nom, l'expérience vous aide au constat que vous faites de la fatalité de lois économiques régissant notre Monde, s'imposant d'elles-mêmes à une vue unique qu'on devrait tous avoir, obéissant au dogme, intangibilité pourtant contraire à l'Homme distingué de la bête.

    Moi qui ne suis pas Blaise, je veux faire le pari qu'il se peut autre chose, si l'on veut s'y forcer en recherchant le mieux, dans l'imperfection même qui nous caractérise, pour oser l'inconnu, l'aventure dont est faite toute l'évolution. C'est pourquoi je milite en faveur du grand pas qui servirait de base à une renaissance en planche de salut pour notre société, hexagonale d'abord, on n'est pas maître ailleurs mais chez nous choix est loi, démarche citoyenne pour le remplacement, condition nécessaire à un vrai changement, par un nouveau Régime, La Sixième République, permettant d'effacer les défauts les plus graves d'une Cinquième usée à la fois par le temps et ceux qui l'ont volée.

    J'ai déjà dit pourquoi sur les points essentiels dans un article écrit pour poser la question, préfaçant la série dont j'ai fait le projet pour soumettre aux Français les souhaits que je forme pour l'espoir d'un Pays, d'un Peuple, d'une Nation qui a su dans l'Histoire s'émanciper des dogmes et devenir modèle en prix de son effort.

    Le sujet n'est pas clos, j'ai appécié le poids de l'objection, par Vous faite à l'avance, concernant mon propos en plus de l'opinion auquel il se rattache et je Vous remercie d'apporter au débat cette première pierre.

    A d'autres occasions j'espère.

                        

                                                                                               m-l-s

                                                                                        michel-la-six     

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:00

    La (sehr-grosse/très-grrrande) Commission Européenne défend l'égalité des sexes. Oui, enfin Elle défend, interdit, que la Femme au volant, qui s'avère plus soucieuse de sécurité que la gent masculine, puisse bénéficier d'un avantage quelconque sur sa prime d'assurance. Elle Nous (les mecs) rassure donc en La ré-assurant. Tout le monde est content et même les assureurs qui vont pouvoir mieux vivre, en attendant qu'on prouve que ceusses aux sexes forts (?) ayant plus d'accidents, il serait équitable, non simple égalité mais souci de justice, qu'un supplément de prime vienne Nous sanctionner pour faire disparaître l'inégale prise en compte de conduites volantaires respectives pas toujours respectueuses.

    Etc, etc ...

    J'avais cru jusqu'ici, assez peu il est vrai, que le coût d'assurance était reflet du risque. Libéré de cette religion, je me sens plus entrain, même mieux disposé envers La Vieille Cinquième (RF) à Laquelle je souhaite peut-être un beau bébé, qu'on nommerait Sixième, Sixième République, puisqu'au temps de Noël la période est propice, souhait que j'accompagne ici de tous mes vœux pour de joyeuses fêtes à Tous (et Toutes).

                                      

                                                         Je sais me bien conduire. 

                                             

                                                                         m-l-s

                                                                   michel-la-six  

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 11:35

tetepage                                                                    

     Notre Cinquième République, en vieillissant, montre toutes ses faiblesses dont la plus importante est qu'en correspondant aux tendances mondiales à l'inégalité Elle ne peut plus répondre à nos aspirations, détruisant notre espoir et nos motivations. Chacun peut constater par la déliquescence de notre Société où la Nation n'est plus qu'un refrain pour discours de campagne, combien est dispersée dans l'individualisme, par abandon de tout, cette force d'un Peuple qui sut être un exemple par des règles conquises pour maintenir un lien, essentiel, vital, entre Concitoyens. On aurait trop d'exemples pour en faire liste ici et pourtant, de poids bien différents, ils contribuent, chacun, à dégrader l'ensemble.

     La royauté républicaine a remplacé la ronde des Cabinets de la Quatrième qui ne gouvernaient guère que par succès d'éclipses bornant à courtes vues les projets d'un Pays privé de direction. Aujourd'hui on gouverne, mais dans l'intimité du clan ayant gagné lors du dernier suffrage, numérique binaire du tout ou rien pour l'Homme d'un parti, des deux plus gros qui soient, UMP et PS, avec tous les pouvoirs pendant sa mandature qui prive de parole les deux tiers d'entre-nous, jusqu'au renversement par ce jeu de bascule vers l'autre permanent qui pourvoira les siens, ce tiers là qui remplace l'autre tiers d'avant, continuité figée bloquant tout changement, toute expérience aussi vers une évolution. Cette rente assurée aux duettistes élus paralyse l'action par crainte de déplaire, surtout de déranger un si bel équilibre, et l'on travaille alors moins pour ses convictions qu'à sa situation. Avec le temps qui passe et accentue les rides d'un système déchéant au confort garanti comme caste intangible, on voit de plus en plus craqueler la surface du trop mince vernis de ceux qui se devraient au moins à la rigueur d'une continuité entre ce qu'ils professent et leurs buts avérés. On avait eu déjà parmi les ridicules bien des bouffons notoires s'illustrant par des rapts, attaques imaginées pour capter l'intérêt, Mitterrand, Balladur, mais aussi des Chirac aux comptes trafiqués et jusqu'à aujourd'hui dans cette guignolade au sein de l'UMP où un (monsieur) Fillon et son alter égo Copé s'écharpent allègrement pour la joie du parterre sans que rien quant au fond ne vienne justifier de leur acharnement  à nuire à leur parti autant qu'à leurs fonctions, leur crédibilité, leur justification d'éligibilité. S'il existe beaucoup, dans la gent politique, de pourriture noble, je parle de hautes sphères, gens de biens très nantis, hardis et résolus, prêts à tout écraser pour l'envie insatiable de la réussite, pour l'orgueil et l'argent, la proportion diffère des milieux ordinaires offrant moins d'occasions et de facilité par manque de moyens, de connaissance des lois et de la vie de prince, pour ceux-ci le souci du besoin journalier, pour  ceux-là le désir de garder le plaisir d'un luxe avantageux où l'on se sent si bien, c'est pour ceux-là surtout qu'il faut la garantie du respect de la Loi, d'une rigueur morale prouvée par l'exigeance de totale transparence de la situation de ceux que l'on mandate d'un pouvoir public. Le mode électif du système politique français est mauvais.

    On ne peut pas changer La Cinquième, faisons La Sixième République !

 

    C'est le Gouvernement (le Président de La République) qui propose les lois, réduisant l'Assemblée au rôle de justifiant pour l'acte de constat par un Exécutif à figure de relais. L'existence d'un Sénat expose au Médicis le modèle du luxe en maison de retraite, non pouvue il est vrai, du label des EPHAD, la différence étant que pour ses pensionnaires, au contraire du commun souvent très onéreux, ici, dans un décor doré, tout est gratuit et même très bien rémunéré en prix d'une fonction purement consultative qui n'a que des actions annulées par avance. L'Exécutif est mauvais, manichéen, et le Législatif est confisqué au Peuple dont il n'est pas la représentation. National, régional, départemental, communal sont les quatre niveaux de l'Administration mais communautés urbaines, de communes et autres découpages, académies, places militaires, polices, gendarmerie, juridictions, Sécurité sociale, centres de soins et de secours, sans parler des circonscriptions électorales, tortueuses à merci, viennent compliquer, inutilement souvent, la vie du citoyen et alourdir la charge pour le budget d'État qui pèse sur l'impôt. Cet éparpillement qui dépersonnalise, ôte à tous les niveaux responsabilité et action efficace dans un laisser-aller faisant droit des plus forts au mépris même des lois, contournées, affaiblies, souvent inappliquées, jusqu'à défigurer l'image de la Nation dans un mode de vie toujours plus dégradé par des écarts trop grands. Les structures de l'État, on le voit, sont mauvaises.

    On ne peut pas changer La Cinquième, faisons La Sixième République !

 

    La Monnaie c'est l'argent, reflet énergétique de puissance d'un Pays, force autrefois régie par La Banque de France sous le commandement de nos Gouvernements, aujourd'hui dévolue à une Autorité Européenne qui n'existe pas vraiment, ni à l'économie ni à la politque, mais est le fait surtout d'une technocratie de spécialistes du calcul financier exclusivement soucieux de l'aspect d'un Euro porté pour sa brillance aux plus hauts taux possibles pour l'orgueil du pouvoir de maîtriser l'argent, plaisir intellectuel de quelques spécialistes enfermés dans leur tour, appuyés en cela par ceux qui pourraient craindre le retour d'inflations d'ampleur incontrôlable provoquant le désordre. La Banque Euro (péenne) sur son petit nuage, libérée des contraintes de nos Gouvernements, se fout bien du Quart-Monde comme du Tiers état et n'aide en rien l'Europe, même dans tous ses (É)tats, comme Elle l'est aujourd'hui, rien n'aidant les États à regrouper leurs forces, par une garantie et un pouvoir communs pour gérer l'équilibre et renforcer le lien. Les banques ordinaires, sociétés de profits, exploitent ce marché des États dispersés appauvrissant l'Europe qu'elles conduisent à la ruine, la menant à la mort. Certains peuvent s'en réjouir, qui voient bien ces défauts, dont la réalité présente se résume en trois faits : l'Euro, la concurrence non faussée et l'ouverture totale et sans contrepartie de toutes nos frontières. J'ajouterais pourtant qu'il nous faut prendre garde à un rejet total, au vu de résultats peu probants, il est vrai, d'un système à l'essai dont le plus grand mérite est d'avoir occupé tous nos Peuples à la tâche commune de tout un continent, faisant durer La Paix dans cette région du Monde qui n'a ni race ni Langue, où nos Histoires s'affrontent et où chaque avantage ou spécificité est pour tout un chacun, selon sa position, objet volable ou bien casus belli. L'Euro est le seul acquis réel, concret, pour unir ce qui reste d'espoir sur un projet trop grand d'avoir voulu tout embrasser trop vite, constituant un empire sans la pérennité par les bases précises d'un intérêt commun aux Pays Fondateurs limitant la tendance aux particularismes entraînés par le nombre et règlant par ses lois les conditions d'accès pour les Nouveaux venus. La monnaie et l'argent sont mal utilisés, le système financier, qui s'applique à la France, est mauvais.

    On ne peut pas changer La Cinquième, faisons La Sixième République !

 

    L'Économie est le système qui porte et structure l'activité de toute Société. Sa forme, jamais vraiment choisie, tient le plus souvent à l'héritage des siècles et de l'Histoire des Peuples concernés mais Elle fut et restera toujours, partout, quels que soient les régimes et les Gouvernements,  la dualité incontournable du travail et de l'argent, compléments opposés d'un même cycle tirant sa dynamique de l'échange sans fin où chaque constituant prend sa source de l'autre. Cet échange permanent est l'agent naturel moteur de notre vie, de son évolution. Mais cesse l'équilibre quand l'Homme manipule, avec mauvaise foi ou simple maladresse, le naturel des choses. Les grandes théories faites sur le sujet, énoncées, disputées de longtemps, nous ont valu pour l'heure deux principes opposés se partageant le Monde, Communisme et Capitalisme, totalement contraires, le premier pour la Communauté niant l'Individu qu'Elle enferme et contraint, dictature affichée du contrôle d'opinion, le second au contraire libéralisant tout, sans donner de limite, dans l'individualisme le plus exacerbé et l'ignorance des autres, dictature occultée de la puissance d'argent reconnue pour prévaloir sur tout. Notre camp est ici, mais sans l'avoir voulu, tant les plus grands esprits, en chœur bien constitué, nous vantent ses mérites, qu'il est irremplaçable malgré quelques défauts qu'on ne peut qu'accepter. On voit où ça nous mène. S'il est bien naturel de capitaliser, je veux dire rassembler tous les fonds disponibles pour pouvoir entreprendre, moyennant intérêts, c'est le travail des banques qui regroupent les prêts qu'on leur fait en dépôts et qui elles-mêmes les prêtent à des niveaux plus grands, il n'est pas admissible de voir jouer en Bourse des biens sur des images dans un marché de l'art du plus malin aux dupes. Le système capitaliste actuel, ultralibéral, qui d'ailleurs trop souvent et de façon cyclique nous plonge dans la crise, est mauvais.

    On ne peut pas changer La Cinquième, faisons La Sixième République !

 

    Dire que tout est pourri au royaume de Hollande comme aux pays anciens de Sodome et Gomorrhe serait-il un mensonge ?  On y vient, on y est, chaque jour un peu plus éclatent au grand jour l'absurde et la bêtise d'affirmations au mode toujours grave, engagé, solennel, faites dans l'immédiat, contredites demain, sans rougeurs de la honte, sans aveu de l'erreur ni regret de faiblesse ou d'incapacité. Le rôle d'imbécile est facile à jouer, nous en sommes tous capables, du plus bas au plus haut, pour peu que la Nature ait été généreuse, on le voit, pas qu'en un quinquennat, on l'a vu dans toute La Cinquième et bien avant déjà, ce qui n'est pas excuse, la malchance peut-être, mais agir en canaille, menteur, escroc, vendeur de vent n'est pas le lot commun de la moyenne humaine et le système d'État se doit à la rigueur de contrôles très sévères et de sanctions précises propres à servir de guide, facilitant d'abord l'action des responsables, ensuite permettant au Peuple gouverné de savoir où le mènent ceux qu'Il a délégués. Comme pour les deux zozos, je veux dire les zoomer-et-zoomer des défauts de l'Union (?) pour un Mouvement Populaire, s'éliminant eux-mêmes, c'est pour moi l'évidence, de toute prétention à conduire un parti, a fortiori La France, les élus du PS qui gouvernent aujourd'hui dans les contradictions propres à ces camps trop vastes pour disposer ensemble d'un idéal commun soudant leur unité dans des actions de force, ces élus, comme leurs prédécesseurs, ne redresseront rien de significatif, même s'ils le voulaient, on a vu les promesses et les réalités, ils nous agraineront, pour faire durer le temps, de miettes dispersées ne conduisant à rien d'autre qu'à continuer le chemin du déclin et de la régression. Perpétuer ainsi l'alternance immobile, néfaste, que La Cinquième induit, est mauvais.

     La Cinquième République ne peut pas changer, Elle n'est plus adaptée.

 

                                                                          Faisons La Sixième République !

 

                                                                                                   m-l-s 

                                                                                             michel-la-six   

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